Depuis quelques semaines, je marche du métro Crémazie jusqu'à chez moi. À chaque soir, comme le veut la tradition, je passe par le parc pour sauver quelques minutes. Dans le parc, il y une aire de jeux réservée aux enfants. Dans l'aire de jeu, il y un petit garçon et son père qui jouent ensemble. À chaque soir, l'enfant me regarde et me sourie; je fais de même (comment y résister). Hier, il est venu jusqu'à la clôture avec son père, comme s'il voulait m'observer de plus près. J'ai sourie, l'enfant a sourie, et le père a sourie lui aussi. Je voulais m'arrêter, mais je n'ai pas osé... J'ai poursuivi mon chemin avec remords. Ce soir, je suis passée par le parc, mais, puisque j'étais un peu plus tôt qu'à l'habitude, ils n'étaient pas là. J'ai déjà hâte à mardi pour les revoir.
jeudi 20 septembre 2007
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